En plus de l’élaboration des référentiels de compétences et des sujets d’examens, la planification des opérations, l’inscription et la convocation des candidats, la gestion des ressources matérielles et humaines ou encore la logistique et la sécurisation des sujets d’examen, le chef d’établissement doit anticiper tous les imprévus qui pourraient survenir le jour des examens.
Pourtant, l’usage du papier ne favorise pas l’efficience des actions mises en œuvre puisqu’il alourdit considérablement toutes les procédures d’évaluation et laisse la porte ouverte à de multiples erreurs humaines.